mardi 19 juillet 2011

jour de pluie

un tour au jardin sous la pluie tout à l'heure...
la jeune bardane ne demande pas mieux...


on s'abrite comme on peut...

la carte géographique par contre, pouvait à peine encore voler...

aromia imperturbable sur sa carotte : elle s'est mise en position écoulement... inclinée... donc pas trop mouillée...
 contrairement à sa collègue sur le second plant de carottes...

les larves de doryphore - mon seul plant attaqué apparemment - se sont mises à l'abri : elles ont dû trouver leur prédateur car elles ont déjà diminué de moitié... mais je n'ai pas pu découvrir qui les aime bien...

les limaces, par contre, sont de sortie...



en-dessous on est mieux, quand il pleut...

attendre et ne plus bouger...




 la timandre aimée, petit papillon des prés et friches humides...

l'un de mes rares maïs a bien du retard...


tiens, une coriandre revenue toute seule...

pas très étanche, mais çà va...




 une petite luzerne qu'on a dû semer un jour... et qui se perpétue ensuite...

5 commentaires:

TiLK a dit…

Salut,
Toujours aussi belles tes photos, surtout en macro. Comme quoi, inutile de voyager loin les beaux clichés se font aussi au potager.

Anonyme a dit…

Bonjour Geispe,

Votre blog m'a incité cette année à me lancer dans la réalisation de mon premier jardin potager ! Je ne sais pas pourquoi j'ai eu cette drôle d'idée, du fait qu'il y a un serait-ce qu'un an, l'idée de faire un jardin était bien loin de mes habitudes... Certainement les conséquences de mon cycle émotionnel et psychique septennale ! ;o)
Bref, pour en revenir au jardin, certes il a fallu que j'achète la plupart des plantations (pomme de t., carotte, poireaux, tomates, oignons, salade... mais je suis quand même fier d'avoir réussi les premiers semis de mon existence : Des graines d'un potimarron qu'un ami m'avais filé l'an passé, que j'ai réussi à faire prendre, avec deux petit qui grandissent bien ! Je me rends compte qu'il m'en faut pas beaucoup pour me contenter ! C'est trés gratifiant surtout quand on a jamais jardiner. Par ailleurs aucune utilisation de produits de traitement chimique. En parallèle je m'instruis en vous lisant et profite de vos photos et de votre expérience de semi-autarcie. Je n'ai pas la prétention de pouvoir faire ce que vous faites à la lettre (quoique je me suis essayé au coupage de bois en forêt, c'est pas désagréable !), pas évident quand on a un boulot à ... j'ose à peine le dire... à 40 km du domicile... Mais l'idée de pouvoir s'auto-suffir le plus possible m'a toujours attiré, qui plus est maintenant avec ce système qui vacille toujours plus et auquel je me sens de plus en plus éloigné...

Bonne continuation à vous et merci pour vos blogs de qualité.

Jeff, 34a, de Corrèze.

geispe a dit…

vrai que l'arrivée d'une période critique septennale donne des idées et des envies de bouger : il faut alors profiter de cette énergie... :-)
quand on travaille il faut effectivement faire comme on peut et les choses sont très différentes lorsqu'on est disponible à plein temps comme je le suis, et que l'on peut faire quotidiennement, à son rythme... bonne idée en tous cas de s'exercer au jardinage, à son rythme et façon "zen" car il faut que çà reste un plaisir. il peut y avoir des loupés... qui nous apprennent souvent quelque chose... mais beaucoup d'aspects gratifiants, effectivement...

Tilia a dit…

Vu la ressemblance entre les larves de doryphores et les coccinelles, je me demande si leurs prédateurs ne sont pas communs.

J'ai recherché quels pouvaient être les prédateurs des coccinelles et voici ce que j'ai trouvé. Il s'agirait du Rhinocoris Iracundus, ou "Punaise Assassin" aussi nommé "Réduve Irascible".
Affaire à suivre ?...

geispe a dit…

probable pour les prédateurs communs, du moins pour certains... car le doryphore peut se défendre par sa couleur et peut-être son mauvais goût, voire comme on l'écrit parfois par le fait qu'il soit toxique, mais là çà m'étonnerait... du moins pour les larves, qu'il faut distinguer de l'adulte dont effectivement mes poules ne semblent pas vouloir)
bonne idée ton lien et on peut donc commencer une liste des prédateurs : la réduve rhinocoris iracundus, la grande sauterelle, les faucheurs, les grandes fourmis des bois... pas vu encore la première mais j'ai pas mal les autres... alors continuons d'observer... :-)