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mardi 20 juillet 2010



c'est un essai de lactofermentation des tiges de pourpier... les feuilles, plus tendres, sont hachées et mangées en salade.
j'ai aussi envie d'essayer de mettre les tiges dans du vinaigre, un peu comme les cornichons ou les salicornes : elles doivent avoir une consistance adaptée.
(nous les cuisinons nature, également, souvent, surtout lorsque nous faisons des bouillons... : d'ailleurs toutes les tiges de toutes les plantes peuvent y aller, pour cela... (bouillon genre pot-au-feu)...

pour la lactofermentation on peut aussi utiliser simplement un bocal. le récipient ci-dessus date de mon époque de commerçant bio où j'en vendais... c'est assez pratique car un système à vis permet de tasser le contenu afin de le maintenir recouvert d'eau ou de jus... il faut saler un peu au fur et à mesure de la mise en bocal. en principe c'est bon après quelques jours.

l'année dernière j'avais fait quelques bocaux de pourpier lactofermenté : j'en ai perdu plusieurs qui ont loupé mais les autres étaient très bons...

beaucoup de pourpier qui vient spontanément cette année au jardin : il faut pour cela en laisser monter une certaine quantité à graines, chaque fois.
certaines plates-bande en sont recouvertes comme ici celle des betteraves rouges.
ce sont des betteraves transplantées après avoir grandi au moyen d'un semis. comme il y a trois grains assemblés pour la betterave rouge, il faut toujours en enlever ou éclaircir : je transplante systématiquement les plants assez grands et çà marche très bien.

lundi 3 août 2009

pourpier



nous avions expérimenté il y a un ou deux ans le pourpier lactofermenté, dans de gros pots de lactofermentation : c'était très bon mais pas du tout pratique, de chaque fois en puiser un peu. à la fin çà a tendance à se gâter à force d'ouvrir régulièrement...
comme cette année le pourpier est revenu en masse (ce n'est pas le cas tous les ans) j'ai essayé de faire du petit modèle - histoire de faire juste une portion - dans un bocal de confiture d'environ 350g : çà fonctionne bien et c'est très bon...
donc feuilles de pourpier (c'est un peu fastidieux de les cueillir mais il vaut mieux ne pas mettre les tiges sauf pour les pointes, car elles sont un peu coriaces) et un peu de sel puis de l'eau...
ne pas s'étonner car le pourpier absorbe l'eau en bonne partie et l'ensemble devient un peu gélatineux et fait même de drôles de fils... mais c'est très bon quand même cru ou cuit...
j'ai placé à l'intérieur du bocal une rondelle de bois de dimension adéquate, coupée ici dans du frêne sec que j'avais sous la main dans mon bois de chauffage : le couvercle métallique à vis mis sur le bocal va presser un peu le pourpier de façon à le maintenir sous l'eau. j'ai mangé le contenu de mon bocal environ 15 jours après mais çà se garde tout l'hiver en principe. je vais donc en faire d'autres exemplaires, y compris avec d'autres légumes ou plantes. la conservation de longue durée reste à essayer mais je ne pense pas que cela pose problème.

pour tasser on doit pouvoir aussi prendre des cailloux plats : donc à récupérer si on en trouve...