c'est un essai de lactofermentation des tiges de pourpier... les feuilles, plus tendres, sont hachées et mangées en salade.
j'ai aussi envie d'essayer de mettre les tiges dans du vinaigre, un peu comme les cornichons ou les salicornes : elles doivent avoir une consistance adaptée.
(nous les cuisinons nature, également, souvent, surtout lorsque nous faisons des bouillons... : d'ailleurs toutes les tiges de toutes les plantes peuvent y aller, pour cela... (bouillon genre pot-au-feu)...
pour la lactofermentation on peut aussi utiliser simplement un bocal. le récipient ci-dessus date de mon époque de commerçant bio où j'en vendais... c'est assez pratique car un système à vis permet de tasser le contenu afin de le maintenir recouvert d'eau ou de jus... il faut saler un peu au fur et à mesure de la mise en bocal. en principe c'est bon après quelques jours.
l'année dernière j'avais fait quelques bocaux de pourpier lactofermenté : j'en ai perdu plusieurs qui ont loupé mais les autres étaient très bons...
beaucoup de pourpier qui vient spontanément cette année au jardin : il faut pour cela en laisser monter une certaine quantité à graines, chaque fois.
certaines plates-bande en sont recouvertes comme ici celle des betteraves rouges.
ce sont des betteraves transplantées après avoir grandi au moyen d'un semis. comme il y a trois grains assemblés pour la betterave rouge, il faut toujours en enlever ou éclaircir : je transplante systématiquement les plants assez grands et çà marche très bien.