lundi 24 février 2014

soleil et verdure

la verdure comestible devient plus fréquente et intéressante, un peu en avance grâce à la douceur des températures...
rencontré le premier citron, aujourd'hui, alors que les deux paons du jour que j'ai repérés restent toujours immobiles depuis l'automne, l'un contre le mur d'un débarras et l'autre sous un meuble... un peu de patience, encore... :-)



pourpier d'hiver ou claytone de cuba : revient facilement toute seule si on la laisse faire des graines...

























rosettes précoces de coquelicots...


mâche,
le cerfeuil n'a pas disparu, cet hiver...


 cardamine hérissée,


dorine,

l'ortie vient aussi, rapidement,
ficaire,







































les onagres sont quasiment intacts, et contiennent encore toutes les graines (oléagineuses comestibles) : signe que les oiseaux n'ont pas manqué de nourriture, cet hiver... s'il y avait  manque, tous les étuis seraient décortiqués...




































 lamier pourpre... présent pour les premiers bourdons, aussi...

 cardamine amère,




les perce-neige fleurissent enfin, et déjà un peu de véronique,


 amas de larves rencontrées dans un bout compost que j'ai dû déplacer (car en principe je n'y touche pas encore) ... (ce sont d'utiles "décomposeurs" et je les ai à nouveau recouvertes) peut-être de futures "mouches de la saint-marc"... généralement elles sont de couleur grise ou noire, mais c'est peut-être plus plus tard (éclosion en avril)

si l'on veut que le renard chasse les campagnols du jardin, la clôture ne doit pas être trop étanche : ici il semble avoir l'habitude de passer sous le grillage...


4 commentaires:

Anonyme a dit…

Oh, la jolie mésange nonette !
Merci Geispe :)

Trystia a dit…

Cela sent bon le printemps qui arrive, vous aviez raison, nous n'aurons pas eu d'hiver; l'appréhension est grandissante concernant les " envahisseurs "que sont les limaces et autres rongeurs ,je suppose chez vous aussi .
Petite info positive, une libellule plus forte que les Hommes :
http://www.lunion.presse.fr/region/insolite-une-libellule-bloque-la-route-a-bettancourt-la-longue-ia3b24n305783

Anonyme a dit…


Finies pour nous les p'tites salades: il a neigé toute la journée.

Geipse, connaissez vous ce ver?

• Ver tueur de lombrics : une catastrophe écologique majeure !
Voici une nouvelle et très grave menace qui pèse sur notre équilibre écologique.
Cette fois, c’est sous nos pieds, dans le sol de nos jardins, dans les pots de fleurs, qu’elle se cache, sous la forme de vers.
>
> Plathelminthe terrestre
> Des plathelminthes terrestres invasifs viennent d’être découverts en France. Ce ver est originaire de Nouvelle-Zélande
et est probablement arrivé en France dans des pots de fleurs, indirectement, via l’Angleterre victime de ce fléau depuis plusieurs années.

Car les plathelminthes terrestres invasifs sont de redoutables prédateurs qui dévorent nos vers de terres,
les lombrics. Or, les lombrics sont un maillon essentiel de la biodiversité. Les chercheurs n’hésitent pas à parler
de catastrophe écologique majeure…
> Il y a quelques temps, des élèves d’une école maternelle découvraient dans la cour de jeux plusieurs “bêtes”,
ressemblant à des reptiles d’une quarantaine de centimètres de long… Un spectacle qui fait froid dans le dos.
> Il ne s’agissait pas de serpent mais de l’une des quatre espèces de Plathelminthe découvertes en France depuis
quelques mois. Car, il y a six mois, personne ne savait que ce ver s’était installé en France. Il a fallu la perspicacité
d’entomologistes amateurs pour donner l’alerte. Le professeur Jean-Lou Justine du Muséum National d’histoire naturelle
a rapidement ouvert une page web consacré à cet animal. Au fil des mois, les témoignages se sont multipliés, confirmant
que les plathelminthes étaient bien installés en France, avec deux régions particulièrement touchées, la Bretagne et le midi.
> Aujourd’hui les scientifiques ont acquis la conviction que les plathelminthes terrestres sont probablement présents sur
tout le territoire national. Chez nous, ils n’ont ni prédateurs, ni parasites et peuvent donc se reproduire et se répandre sans limites.
> Le problème, c’est qu’au moins l’un des quatre espèces se nourrit de nos bons vieux vers de terre, les lombrics qui sont
sans défense face à cet ennemi redoutable.
> En Angleterre où ce ver est présent depuis plusieurs années, les lombrics ont totalement disparu de certaines localités.
C’est la perspective de la disparition des lombrics qui constitue une “catastrophe écologique majeure”. Car ce sont eux qui
fertilisent le sol, l’aèrent et permettent donc aux végétaux de se développer normalement.
> L’autre problème c’est le fait qu’on ne sait aujourd’hui presque rien sur ces vers, qui pourraient même être toxiques pour l’homme.
On ignore même le nom de deux des espèces recensées en France. Les recherches ne font que commencer.
Les chercheurs cherchent d’abord à établir une carte de la présence de ces animaux dans l’hexagone. Ils lancent un appel urgent
pour cela aux jardiniers amateurs. “Ces bêtes vivent dans le sol. On a vraiment besoin du public et notamment des jardiniers amateurs.
Ce sont eux qui ont les mains dans la terre, qui travaillent le sol et qui sont capables de les repérer…“, insiste le professeur Justine.


geispe a dit…

entendu parler, mais sans plus, de ce ver sangsue...