mardi 26 février 2008

réserve du campagnol


c'est un travail de campagnol qui a amassé près de son nid, et sous la terre, des quantités de racines de rudbeckia cherchées apparemment assez loin car elles se situent à plus de dix mètres de là... ils font çà aussi avec les racines de liseron : cela contribue non seulement à les éparpiller (et il en repousse alors partout ce qui n'est pas pratique) ou encore cela donne de gros bouquets de pousses de liserons (ou de rudbeckia d'ailleurs) lorsque au printemps toute la pile de racine se met à pousser en même temps : çà forme alors carrément une "botte" de liserons... :-)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour, je viens de parcourir votre blog avec grand intéret et admiration pour tout ce temps passé à retrouver tous ces vieux gestes que l'on a oublié. Je pense de plus en plus à apprendre à vivre en autarcie c'est comme un appel qui résonne dans ma tête.
Alors je fais quelques expériences de mon côté et en ce moment c'est récupérer l'eau de boulot ( séve montante) qui est elle aussi source de sucre. Peut-être avez vous déja essayé!
Et puis l'installation de ruches horizontales comme vous.
Voilà bravo encore!!!

geispe a dit…

j'ai essayé la sève de bouleau mais j'avoue que je n'ai rien réussi à en tirer (un tout petit peu : un goùt de flotte) et du coup j'ai abandonné... :-)

Anonyme a dit…

Oui il y a une période précise pour le faire avant l'éclosion des bourgeons. Je viens de percer à midi et en 30 mn déja un fond de bouteille rempli. Il faut ensuite soit le boire en cure ou le faire longuement évaporer pour en concentrer le sucre. On arrive même a faire un caramel une connaisance en a fait.